Une fois de plus, quand la porte est ouverte, Gasly met le paquet et saisi toutes les occasions, comme il a pu le faire l’année passée en remportant le Grand Prix d’Italie. Si ce coup-ci il n’est pas monté sur la plus haute marche à Bakou, il a quand même raflé la troisième. Et sur un circuit qui ne fait de cadeau à personne, comme en témoigne le forfait de Verstappen et l’accident de Hamilton. Gasly aura profité du capharnaüm ambiant pour tirer son épingle du jeu, affiner sa conduite pour amener habilement sa monoplace où il le voulait. Et cela a fait la différence.